Quand le Front de Gauche s’invite chez Charles Nodier (post futile)

C’est étrange parfois comme l’actualité et le monde présent viennent s’inviter dans votre cerveau et parasiter la lecture. Continuant ma lecture de Nodier, je suis tombé sur ça :

« Philippe Mélanchton raconte que sa tante, ayant perdu son mari, lorsqu’elle était enceinte, et près de son terme, vit un soir, étant assise auprès de son feu, deux personnes entrer dans sa maison, l’une ayant la forme de son mari décédé, l’autre celle d’un franciscain de grande taille.« 

L’histoire ne dit pas si Philippe Mélanchton s’est mis à brandir des drapeaux rouges et à entonner l’Internationale, ni s’il a hurlé sur ces perruches et petites cervelles de journalistes.

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Un commentaire pour Quand le Front de Gauche s’invite chez Charles Nodier (post futile)

  1. Etage41 dit :

    « L’histoire ne dit pas si Philippe Mélanchton s’est mis à brandir des drapeaux rouges et à entonner l’Internationale, ni s’il a hurlé sur ces perruches et petites cervelles de journalistes. »

    Voyez-vous, j’accepte plus facilement cela d’un écrivain et d’un critique « à la Karl Kraus » que d’un homme politique… ( l’histoire oublie aussi de rappeler que le Mélenchon sans taie fut lui-même, à ses heures de réveil perdues, journaliste; et que la projection n’a pas de limites… )

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